On peut lire cette déclaration de Midam faite à Daniel Couvreur dans le journal Le Soir du mercredi 31 octobre & jeudi 1er novembre 2007 (supplément "La Culture"): "Je ne suis pas un fan de mangas, c'est un genre trop pauvre, trop codé, trop violent". L'auteur de Kid Paddle (dont le onzième tome s'intitule "Le Retour de la Momie qui pue qui tue") poursuit: "Chez Kid Paddle, la violence reste toujours imaginaire. Il n'y a jamais de passage à l'acte. C'est juste un bouillonement intérieur, comme nous en connaissons tous un jour ou l'autre, en faisant la file au supermarché, quand une vieille dame devant a oublié le code de sa carte bancaire". Je comprends entièrement. J'expérimente en ce moment le même "bouillonement intérieur" face à ces propos réducteurs sur le Neuvième Art nippon. Mais comme Kid Paddle, je canaliserai mes impulsions négatives...
jeudi, novembre 01, 2007
Een beetje van alles (V): le "Retour du Manga qui pue qui tue"
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1 commentaire:
Le commentaire malheureux et suintant d'ignorance équivaut à cette superbe définition du manga paru dans la DH (grand journal Belge :-) )ce 1 octobre, je cite : "En fait, Watashi wa Kira dess est la phrase culte d'un manga (ces bandes dessinées nippones se lisant à l'envers) publié au Japon en 2004"....
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